Incarne un orphelin, un assassin, un dealer ou n'importe qui, avec un esprit animal, et arpente les rues de Vénise.
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| | | Auteur | Message |
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Kaoru
Nombre de messages : 7
Date d'inscription : 13/12/2009
 |  Sujet: # Kaoru  Mer 16 Déc - 18:05 | |
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(Je poste la Présent' comme ça après j'aurais plus qu'à tout rajouter /o/)
---PERSONNAGE.
Nom ( composé ou simple ): Kaoru
Âge ( à partir de 12 ans ): 17 ans.
Histoire ( minimum 5 lignes ): Dans le post suivant 
Caractère ( minimum 4 lignes ):
Le rire de l’adolescent se propageait doucement, son intensité grimpant rapidement. Ses yeux se plissèrent légèrement par amusement, ne révélant qu’une fente verte. Ses lèvres s’étiraient sur tout son visage, formant un sourire magnifique qui illuminait son jeune visage. Cette joie, malheureusement, n’était qu’apparence. Au fond il agonisait mais cela ne le gênait pas de se broyer.
Comment dire ... Ses humeurs sont assez changeantes, passant de la gentille, à la tristesse, comme à la haine. Il n’y peut rien, c’est dans sa nature. Cependant il s’oblige à rester joyeux dans toutes les circonstances, il se cache derrière un masque et se détruit de l’intérieur depuis une fameuse nuit. ( Ah Ah B) ) Quand il sombre dans la folie il est capable des pires gestes et c’est ces gestes qui le détruisent petit à petit.
Il a peur de faire du mal aux gens et met du temps à s’attacher à eux, ayant constamment la peur de se faire trahir ce qui l’anéantirait. Pour lui la confiance est quelque chose de primordiale qu’il ne faut pas gâcher. Il déteste les mensonges, ce qui le plonge dans un état de colère infernale. Quand il réussi enfin à croire en quelqu’un il est près à tout. Et quand je dis tout, c’est vraiment tout. Il n’hésitera pas à sacrifier sa vie pour sauver ses amis qui sont pour lui sa seule famille.
Il hait voir quelqu’un souffrir, cela lui rappelle trop son passé, cela le bouleverse. Il voudrait que le monde soit beau et doux afin de vivre heureux, mais il sait que c’est impossible mais il se voile la face.
Il ne possède rien (comme objets) car cela lui rappelle son passé et puis il n’éprouve aucun plaisir à avoir une montagnes de trésors.
Physique ( minimum 4 lignes ):
Il tourna la tête vivement, ses cheveux, d’un brun intense, ondulèrent, retombant le long de son doux et beau visage, le caressant presque comme des mains invisibles et protectrices. Ses grands yeux émeraudes, clignèrent vivement, disparaissant par moment derrière ses paupières si fines qu’on aurait pu croire transparentes. Ses prunelles s’orientèrent vite vers un point imaginaire, le fixant avec une telle intensité qu’on aurait cru que quelque chose de magnifique devait s’y trouver. Les mains de l’adolescent s’agitèrent paisiblement, faisant danser avec fluidité ses tendons sous sa peau. Ses doigts fins donnaient l’air de vouloir saisir un objet invisible, se mouvant avec rapidité, s’entrecroisant, se pliant, craquant par moment. Ses lèvres minces s’étirèrent lentement en un léger sourire, révélant des dents d’un blanc éclatant. Puis, un rire sortit de sa gorge telle une mélodie qui se perdait dans ce monde immense, sa tête se pencha sur la droite faisant glisser ses cheveux sur son visage aux traits fins. Son corps svelte vibrait au fil de son amusement passager, ses épaules étroites s’élevaient puis retombaient rapidement. Sa langue passa sur ses dents, les effleurant doucement, s’arrêtant sur ses canines, puis claqua dans sa bouche comme un coup de fouet. Sa main gauche se posa sur ses hanches étroites tandis que l’autre dessinait avec soin les contours subtils de ses lèvres pâles. Puis, son sourire s’effaça aussi vite qu’il était apparu, réintégrant son visage.
L’adolescent est de taille moyenne, sans être grand ni petit. Il est très mince sans pour autant paraître squelettique, très peu musclé. Il est souple et agile. Question vêtement il porte des vêtements simples et discrets. Sa peau est plutôt clair, légèrement pâle, assez fine. Son visage possède des traits fins et minces (lèvres, nez, mâchoires.). Son visage est très expressif, on peut y lire la moindre de ses émotions (joie, colère, peine, tristesse, haine et j’en passe ...), cependant son expression est la plus souvent joyeuse (c’est le seul moyen qu’il a trouvé pour cacher sa tristesse et souffrance intérieure. ( Voir son Histoire après.) Le jeune homme possède de grands yeux émeraudes qu’il a hérité de sa mère, c’est ce que l’on remarque le plus sur son visage dû à leur couleur assez frappante. Ses cheveux, légèrement longs, sont bruns et forment des épis quand ils ne retombent pas devant ses prunelles, encadrant son visage.
Animal ( description avec ): Le Guépard est, je pense, l'animal qui conviendrait le mieux à Kaoru. Il est rapide, agile et mince comme l'adolescent. De plus l'animal possède une particularité intéressante : sous ses yeux se trouvent des bandes noires qu'on pourrait associer à des larmes. Etant donné que la tristesse et la peine sont des sentiments qui habitent et rongent Kaoru de l'intérieur, le félin convient bien au personnage, comme si, dans cette forme, il ne pouvait pas cacher son agonie et qu'ainsi il se révèlait.
--- VOUS.
Pseudonyme : Hyl.
Comment trouvez-vous le forum ? : SUPERBE ! Je t'ai déjà dis, Nami, mais le design est sublime. 
Codes : Starry - Well ... Y'en a d'autres =o ?
Dernière édition par Kaoru le Dim 20 Déc - 15:46, édité 5 fois |
| | | | Lucan *Fondatrice Nami
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Date d'inscription : 27/10/2008
| | | | | Kaoru
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Date d'inscription : 13/12/2009
| | Sujet: Re: # Kaoru Dim 20 Déc - 15:39 | |
| « Excusez ma folie. »
Marcher. C’est tout ce qu’il me reste à faire. Enjamber ces cadavres allongés sur ce sol cramoisi teinté de leur sang. J’aurais voulu empêcher tout ça, j’aurais voulu les sauver. Mais la mort est inévitable, elle touche tout le monde, sans exception. Maintenant je veux partir, oui partir. Autre part. Loin d’ici. Je me répète, inlassablement, que tout cela n’est pas de ma faute, que ce massacre ce n’est pas moi qui l’ai engendré. Il me faut me convaincre.
Je m’appelle Kaoru. J’ai vécu une enfance heureuse, oui très heureuse. J’avais tout, l’amour d’une famille, la richesse, une demeure, tout. Fut un temps j’avais des parents, un frère et deux sœurs. Mais ce passé n’est plus, je l’ai détruit de mes propres mains.
Le froid mordait ma peau de ses longs crocs avides, me transperçant de toutes parts, faisant couler mon sang qui gelait à peine sorti de mon corps. Tel était l’impression que j’avais quand je parcourais lentement le chemin qui séparait le jardin de la propriété familiale à notre manoir. Mes pas résonnaient dans ma tête en un bruit sourd et répétitif que j’aurais cru infini, mais je tardai pas à ne plus l’entendre quand mes jambes s’arrêtèrent seules devant la porte d’entrée. Mes yeux, qui auparavant étaient rivés au sol, se levèrent doucement, observant avec chaleur l’endroit où je demeurais. Je poussais doucement l’épave de bois, et entrait d’un pas vif et pressé. Ils étaient tous là, ces gens qui m’avaient créé, ces gens que je côtoyais tout les jours et que j’aimais profondément. Mes prunelles émeraude les détaillèrent avec plaisir, observant leurs tenues qui les illuminaient et me donner envie de me jeter dans leurs bras si réconfortants. Un soupir de bonheur m’échappa et leurs regards attendris se fixèrent sur moi. Je les trouvais tellement magnifiques. Un frisson me parcourra le corps et je me mis à rire. J’étais obligé de retenir mes jambes pour ne pas courir les rejoindre, je restais là, heureux, à regarder ma famille qui me voyait évoluer au fil des années.
« Kaoru ... Tu étais encore dehors ? Ton père et moi nous inquiétions pour toi, tu sais. » Dit ma Mère d’une voix soucieuse.
Je rougis, mes joues devinrent chaudes. Mes yeux s’écarquillèrent et je m’en voulu soudainement d’avoir causé tant de soucis à mes parents. Mes grands yeux s’emplirent doucement de larmes qui coulèrent le longs des mes joues. Je reniflais bruyamment, comme tout jeune qui pleurait. Mon esprit était confus, hésitant entre honte et bonheur. Mes lèvres se serrèrent en une moue triste et je me jetais dans les bras ouverts de ma Mère qui m’attendait avec hâte. Je me blottis contre Elle, collant mon oreille contre sa poitrine afin d’entendre les battements de son cœur qui tant de fois m’avaient apaisé. Ses doigts fins vinrent caresser mes joues avec amour puis se frayèrent un chemin dans ma chevelure brune. Ses prunelles qui luisaient comme des diamants m’observaient, ses lèvres se posèrent doucement sur mon front et je fermais les yeux. Voilà ce qu’est le bonheur. Sentir ceux que l’on aime nous entourer, nous chérir, c’est la plus belle chose qui peut arriver. Je sentais sa chaleur m’envelopper doucement et je me laissais aller dans son étreinte maternelle. Tout ces gens qui avaient le même sang que moi étaient mes plus beaux trésors que jamais je n’aurais voulu perdre. Le sommeil me gagna peu à peu et je m’endormis contre ma Mère, heureux.
Je rêvais de choses que je n’avais jamais vues de ma vie. De sang, de proies, de crocs, de mort. J’avais peur, je me sentais traqué, oppressé. Tout allait mal. Je sentis soudain une douleur aiguë qui se propagea dans mon corps entier, comme une décharge électrique, et je me réveillais en sursaut. Quelque chose clochait, j’en été sûr. Je n’étais pas moi mais quelqu’un d’autres, j’avais l’impression d’avoir quitté mon corps et de regarder la scène d’en haut. J’observais donc l’enfant qui me ressemblait comme deux gouttes d’eau se lever doucement, ayant pour prunelles des fentes émeraude, animales. La peur montait dans mon petit être, j’ignorais ce qui se passait et cela m’effrayait ... Quelque chose de mal allait arriver, j’en étais convaincu mais je ne pouvais rien faire, j’étais impuissant face à tout cela. Je voulais crier mais je n’étais qu’un esprit flottant dans l’air, invisible, je ne pouvais qu’assister à la scène, accompagné de mon incapacité. Le garçon hurla de souffrance, mais ce n’était pas un son humain mais animal. Il tremblait tellement, comme pris de convulsions violentes, il tomba au sol, se tordant dans tout les sens. C’était affreux et moi, j’étais bloqué, je n’étais qu’un témoin, rien de plus. Je ne sentais rien, même pas mon corps, non rien. Plus les secondes passaient plus l’enfant se déformait, ses membres se crispaient, évoluaient, ses canines devenaient de longs crocs tranchants. J’étais terrifié face à la bête à l’allure de fauve qui se dressait maintenant dans ma chambre. Elle fit quelques pas qui gagnèrent vite en assurance, comme guidés. Mes parents, alertés par le cri, ouvrirent grand la porte qui se frappa contre le mur dans un grand bruit. Là, sans qu’ils ne puissent réagir, le monstre se jeta sur eux, plantant ses crocs dans leur gorge, déchiquetant leurs corps de ses griffes acérés. Mes parents ne purent pousser aucun bruit, aucun son de se dégagea de leur assassinat mis à part le sang giclant et leur chair se déchirant. Je vis les yeux effrayés de ma Mère se révulser, ceux de mon Père devinrent vitreux. La vie les quitta lentement, leur âme quittait leur corps avec peine et douleur. Cela devait être un cauchemar, je n’avais quand même pas pu faire ça ... Je voulais me réveiller, me lever et serrer ma famille dans mes bras. Mais au fond quelque chose me disait que c’était la réalité, et cela ne me faisait que plus mal. Mon frère et mes sœurs apparurent près de la porte, encore mal réveillés, les yeux écarquillés par spectacle macabre qui s’offrait à eux. Eux aussi voulaient sûrement se réveiller. Avant même que je puisse crier, la bête que j’avais reconnu comme étant un guépard ou un félin s’y rapprochant, se jeta sur eux et leur fit connaître le même sort. Une fois finis l’animal fut soudainement pris de convulsions comme quelques minutes avant, il s’abattu au sol comme une masse, tout devint noir à mes yeux.
Pitié, réveillez moi.
Pitié, pitié, pitié ... Je ne veux pas de ça. C’est horrible. Ce n’est qu’un rêve, je ne suis pas un monstre. Je n’ai pas tué ceux que j’aime tant.
Tuez-moi.
Mes paupières se soulevèrent lentement, révélant mes prunelles émeraude que ma Mère m’avait si gentiment léguées. Je sortais lentement de mon sommeil, de ma léthargie. Elles s’écarquillèrent d’effroi. Car oui, tout était réel. Je baignais dans le sang que j’avais moi-même fait jaillir des veines de ma famille. Je les avais tués. Je les avais anéantis. Tout était de ma faute. MA faute. J’avais tout engendré. Je n’étais qu’un monstre, bon à être tuer. J’entendis un râle d’agonie qui me fit sursauter. Je cherchai du regard l’origine du son pour découvrir mon frère, la gorge qu’à moitié déchiquetée, respirant mal, s’étouffant dans son propre sang qui emplissait doucement ses poumons. Un cri de désespoir m’échappa et je me jetais sur mon frère, portant avec toute la tendresse et l’amour qui me restait sa tête. Ses yeux marrons (venant de mon Père) me fixèrent, vitreux eux aussi. Il toussota et du sang s’étala sur ma joue, se mêlant à mes larmes qui brouillaient ma vue. Il soupira lentement et douloureusement avant de chuchoter, avec le peu de vie qui lui restait :
« Ce ... Ce n’était pas ... de ta faute ... »
Ses yeux s’écarquillèrent de douleur puis se fermèrent lentement, sa tête tomba sur le côté, mollement. Son sang cessa de couler, son cœur de battre.
Voilà. Ils étaient vraiment tous morts. Je les avais tué, un à un. Mes larmes tombèrent sur la joue de mon frère, roulant jusqu’à la commissure de ses lèvres. Je penchais la tête, serrait des dents, mes cheveux bruns glissant le long de mes joues. Je restai là longtemps, à les bercer un à un entre mes bras, à leur dire Adieu, à vouloir les retrouver.
Je ne suis plus le même, quelque chose en moi est différent, animal. Je ne suis qu’un monstre dont la punition serait de vivre sans ses Trésors et d’en souffrir. Je ne me tuerai pas, non cela serait me soulager de mon fardeau. Je dois attendre qu’Ils me pardonnent, de là où ils sont. Un jour, peut être, j’aurais le droit de les rejoindre. Pour le moment il me faut brûler, agoniser, me broyer. Un jour peut être, j’aurais le droit de Vous revoir ...
[Bon, j’avais la flemme de faire une Histoire cool. Les Présentations ce n’est vraiment pas mon fort xD]
Dernière édition par Kaoru le Mer 17 Fév - 18:00, édité 1 fois |
| | | | Lucan *Fondatrice Nami
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| | | | | Kaoru
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Date d'inscription : 13/12/2009
| | Sujet: Re: # Kaoru Lun 21 Déc - 13:09 | |
| Sérieux XD ? Je la trouvais tellement mal écrite qu'elle ne provoquait aucun émotion :/
Faut qu'on fasse un RP \o/ [Quand t'auras le temps parce que tu es débordée x)] |
| | | | Lucan *Fondatrice Nami
Nombre de messages : 73
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Date d'inscription : 27/10/2008
| | Sujet: Re: # Kaoru Mar 22 Déc - 1:40 | |
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| | Sujet: Re: # Kaoru | |
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